Même dans la formation que j'ai créée AVANT L'Université, pour apprendre aux gens à vivre du copywriting ?
Je disais de se lancer dessus.
Le truc … c'est que les temps ont changé.
Aujourd'hui ? Il est impossible pour un copywriter qui débute de vivre de son activité en attendant des clients sur Malt.
Cela peut à la limite t'apporter un client par-ci par-là si tu es vraiment bon …
Mais cela veut en plus dire que tu es en concurrence avec moi, avec mes +40 avis 5 étoiles. :/
Je te pose donc la question :
Est-ce que c'est ça que tu cherches ?
Est-ce que c'est vraiment ça ta "bouée de sauvetage" ?
Tout miser sur une plateforme sur laquelle tu n'as pas le contrôle, où tu vas devoir te débattre entre des milliers de comptes qui proposent le même service, comptant uniquement sur une jolie photo pour te démarquer et payer ton loyer
?
Je ne pense pas…
“Oui, mais je peux aussi publier sur LinkedIn pour me faire connaître”.
Très bien :
Parlons de LinkedIn…
MYTHE #2 :
Publier sur LinkedIn
LinkedIn, c’est la jungle.
Au moins tout autant que Malt :

Alors oui :
Tu as plus la main sur tes résultats car tu peux publier du contenu pour te différencier des autres …
Mais cela te prendra minimum 1 an avant de pouvoir espérer avoir des clients récurrents (des mois d’efforts intenses, si tu as de la chance).
Ce n'est pas tout :
Les gens veulent se lancer sur LinkedIn en pensant que c'est "Le nouvel Eldorado".
Mais qu'ils ont oublié ?
C'est que LinkedIn … ça prend du temps.
Prévois 1 à 2 heures PAR JOUR pour partager un contenu de qualité…
Tout en laissant 4 à 8 commentaires sur les autres profils (ou alors personne ne te remarquera) …
Tout ça pour passer avoir 2 likes par post après 6 mois de durs efforts (ta mère … et un autre copywriter "qui te soutient", mais n’achètera du coup jamais
tes services).
LinkedIn est difficile.
Et il faut être honnête :
Lorsque tu te lances sans audience de base comme moi ?
C'est une galère sans nom.
Le meilleur moyen reste alors de prospecter.
De
directement mettre ton discours ET ta proposition DEVANT des clients.
Oui, mais …
MYTHE #3 :
Prospecter à froid
Ah, la bonne vieille prospection…
Un petit e-mail, le client répond, et tu as ton contrat.
La vie est belle, non ?
Non. Car voici la réalité … 👇

"Je ne vais pas te le cacher : tu es au moins la 5ème personne en quelques mois qui me contacte avec exactement le même process"
Des screens comme ça ? ☝️
J’en ai des DIZAINES.
Chaque semaine …
Des lecteurs qui n'ont pas encore rejoint mon programme me demandent de l’aide, complètement désespérés de voir leur messages se faire froidement refuser.
(Et encore, les jours où ils ne se sont pas fait "ghoster").
Je sais que c'est compliqué …
Mais voici une vérité dure à entendre :
En réalité ? Ce qui arrive lorsqu'on contacte des clients potentiels à froid comme ça est NORMAL.
Mets le contexte en situation :
- Si tu envoies les mêmes messages que tout le monde …
- Aux entrepreneurs qui a déjà été contacté la semaine dernière …
- Sans pouvoir réellement te différencier, car tu n'as pas de témoignages à montrer, et donc que personne ne te fait confiance ?
Eh bien c'est comme je viens de dire :
Personne.
Ne te fait.
Confiance.
Résultat ?
Des salariés qui rêveraient de plus de liberté (ou des étudiants qui se rendent comptent qu'ils veulent faire
autre chose) veulent changer …
Mais ils restent bloqués, et rien n'y fait.
Pendant ce temps-là ?
Un petit groupe de copywriters se frottent les mains, en faisant différemment de 99% de leur concurrents.
Et pendant que des formateurs véreux s'enrichissent en vendant des méthodes qui ne marchent plus depuis belles lurettes (et que tu n'en peux plus car tu as
l'impression que tu ne pourras jamais vivre de ton activité ?)
Des élèves comme Sol, Julien ou encore Emerson signent leur premier client …
Sans expérience préalable :